Le 12 mars 2006
par Geai Curieux (collaboration d’un nouveau membre)
Malgré un ciel gris, je suis aspiré par un vent d’enthousiasme émanant de l’intérieur de la Cabane à Midas. Je comprends alors pourquoi j’y fus entraîné : quelle chaleur dans l’air!
Je remarque rapidement que l’on y attend plusieurs convives au nombre de tables garnies de cartons « Réservations ». Je saisis une conversation qui m’apprend que 98 personnes ont déjà réservé et qu’au moins huit autres se sont signalées par téléphone le matin même.
Les organisateurs sont rayonnants de joie à constater cette situation. En effet, il est plus facile de planifier les activités au programme quand on connaît le nombre de participants. De toute évidence, les membres de l‘ comme mentionné à l’entrée ont su s’entourer de collaborateurs chevronnés.
L'arrivée d'un animateur a eu pour effet que les convives allant de l'un à l'autre pour prendre nouvelles se sont rendus à leur table respective.
Le président Grégoire, après avoir mentionné que l’assemblée était composée de membres de trois générations, annonce aux membres présents que les bénéfices de l’exercice à venir serviront à améliorer le site WEB de l’Association.
Soudain les événements se déchaînent, un maître de jeu de toute évidence « Y connaît ça lui » provoque une chasse aux petits papiers que des membres offrent et en déposent dans un sac, un exemplaire. Qu’est-ce ?
À un moment donné certains pigent dans le sac ce qui amène plusieurs participants à se présenter au maître de jeu et ils repartent avec ce qui pourrait être pour moi une dragée.
À chacune des tables de convives, c’est la fête! Les plats garnis à plein se promènent chacun faisant provision d’une copieuse portion. Le sirop coule généreusement sur le jambon, les crêpes et les fèves au lard.
Mais quel est donc ce chant à mes oreilles? Pour apporter sa contribution à la fête, une jeunesse comme diraient certains, nous a offert un chant très agréable en remplacement d’une poésie présentée l’année précédente.
Durant ces réjouissances, les nuages s’étant déchargés de leur eau, je pourrai donc en toute quiétude reprendre mon vol, heureux d’avoir assisté à une rencontre de gais lurons capables de se réunir pour se remémorer leurs racines.
Poétiquement vôtre…